14e Régiment d'Infanterie de Ligne. " French speaking "[Recruiting]

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" Bravoure "



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This regiment is part of the Ier Corps d'Armée Français




before the regiment collapsed, we were a good french line infantry with a great experience in mount&musket.
We managed to gain a kind of renown with the French Conquest every Saturday ( Thanks to O'malley <3 )
That's what we will try again in Napoleonic Wars, without doing errors like those we did before.

" Regiment History " 

The 14e has been reformed for the new DLC napoleonic wars.

** We are a French speaking regiment **

1805 : Ulm et Austerlitz.
1806 : Iéna
1807 : Eylau

La défense de l'Aigle du 14e de ligne pendant la bataille d'Eylau, d'après Rousselot.


Rappels historiques sur le 14e Régiment d’Infanterie de Ligne :

C’est en application d’un arrêté du Premier consul du 24 septembre 1803 ayant rétabli dans l’armée française le grade de colonel et la dénomination de régiment pour les demi-brigades d’infanterie que la 14e demi-brigade d’infanterie de ligne est devenue le 14e régiment d’infanterie de ligne.

Jacques Mazas, nommé le 5 octobre 1803, a été le premier colonel du 14e de ligne. Le 14e de ligne comprend à sa formation trois bataillons. Selon l’état militaire de l’Empire français pour l’an XIII, publié au début de 1805, les 1er et 2e bataillons font partie de l’armée des Côtes de l’Océan destinée à envahir l’Angleterre, division du camp de Saint-Omer. Le 3e bataillon est en garnison à Maestricht, 25e division militaire.

En 1805, les 1er et 2e bataillons font campagne à la division de Leblond de Saint-Hilaire, 4e corps de la Grande Armée. Ils participent à l’attaque du plateau de Pratzen lors de la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805. Le colonel Mazas est tué, son nom sera inscrit sur l’Arc de triomphe de l’Etoile, côté Est. Le 14e de ligne a à déplorer la mort de 48 sous-officiers et hommes de troupe.

Par décret du 21 décembre 1805, Charles Savary est nommé colonel du 14e de ligne. Les 1er et 2e bataillons du 14e de ligne appartiennent à la division Desjardin du 7e corps de la Grande Armée et prennent part à la bataille d’Iéna le 14 octobre 1806 contre les Prussiens, six morts sont à déplorer. Le colonel Savary est blessé de deux coups de lance dont un au cœur au cours d’un combat avec des cavaliers russes le 24 décembre 1806 et meurt des suites de ses blessures à l’hôpital de Plonsk le même jour. En apprenant son décès, l’empereur dira « il était digne de commander un aussi brave régiment ».

Il est remplacé à la tête du 14e de ligne par le colonel Jean-François Henriod par décret du 30 décembre 1806. Prenant ses fonctions au 14e de ligne au début de 1807, il sert à la 1ère brigade aux ordres du général Binot, comprenant le 16e léger et le 14e de ligne et faisant partie de la division Desjardin. Il a sous ses ordres deux bataillons de guerre comptant au 1er février 1807 65 officiers et 1 839 sous-officiers et hommes de troupe présents sous les armes, le 1er bataillon étant commandé par le chef de bataillon Dupuy de Saint-Florent, le 2e bataillon par le chef de bataillon Daucy.


La Bataille d’Eylau :

Le dimanche 8 février 1807 au matin, le 7e corps de la Grande Armée du maréchal Augereau est établi au centre du dispositif de la Grande Armée à proximité de l’église et du cimetière d’Eylau ; le 14e de ligne était placé au début de la bataille en soutien de l’artillerie à cheval de la Garde impériale en position près de l’église d’Eylau, il subit ses premières pertes lors de la canonnade déclenchée par les Russes dès le matin. Le général Binot ayant eu la tête emportée par un coup de boulet au cours de cette première phase de la bataille, Henriod assume par intérim le commandement de la brigade et Daucy celui du 14e de ligne.
 
L’empereur ayant décidé peu après 10 h du matin de créer une attaque de diversion sur le centre de l’armée russe pour soutenir l’action du 3e corps de Davout sur le flanc gauche de l’armée russe, ordre est donné à Augereau de lancer à l’attaque ses deux divisions d’infanterie, Desjardin et Heudelet, le 14e de ligne formant l’avant-garde de la division Desjardin.

Grâce aux rapports rédigés par le colonel Henriod, nous connaissons les épisodes marquants de ce premier acte de la tragédie d’Eylau en ce qui concerne les combattants du 14e de ligne marchant à l’ennemi sous une tempête de neige « si épaisse qu’on ne distinguait pas à deux pas » et qui aveuglait les Français. Le 14e de ligne partit à l’attaque, ayant à 200 pas sur sa gauche les 44e et 105e de ligne. Plus avancé, il se trouve plus exposé au feu d’une batterie russe de 72 canons couvrant les assaillants de mitraille et de boulets. D’après Henriod, « le régiment venait de renverser la première ligne de l’infanterie russe lorsqu’un biscaïen fracturant la partie inférieure de l’aigle du 1er bataillon la jeta sur la 5e compagnie. Le sergent-major porte-drapeau venant d’être blessé, le capitaine de la 5e compagnie confia l’aigle à un brave de sa compagnie. Le carré du 14e, immédiatement entouré sur trois de ses côtés par la cavalerie et l’infanterie russes, n’aurait pas été entamé, si des fuyards d’un autre corps n’étaient venus se réfugier dans son flanc gauche ainsi devenu accessible à l’ennemi. La mêlée devint générale et les 16e léger et 44e de ligne, déjà en retraite en ce moment, ne laissant plus de points d’appui, les officiers du 14e rallièrent les deux drapeaux sur les dernières compagnies du 2e bataillon et leur donnèrent ordre de se porter rapidement en arrière sur le 105e régiment. Les drapeaux arrivés sur le flanc droit du 105e, un coup de mitraille tua le soldat porteur de l’aigle du 1er bataillon. Un grenadier du 105e la ramassa et la remit au colonel Habert du 105e de ligne. Le capitaine Grémillon du 14e de ligne, témoin de cet accident, suivit ce grenadier et obtint du colonel Habert la restitution de cette aigle. »

Il convient d’évoquer également l’héroïque résistance des survivants du 14e de ligne, encerclés par l’infanterie et la cavalerie russes et regroupés sur une butte sous le ordres du chef de bataillon Daucy qui, ne voyant aucun moyen de les sauver, aurait confié l’aigle du 2e bataillon au capitaine Marbot, aide de camp d’Augereau, ajoutant qu’il serait trop pénible en mourant de le voir tomber aux mains de l’ennemi. Les survivants seront submergés et annihilés par une dernière attaque menée par le régiment de grenadiers de Pavlov.
Il ressort de l’analyse des contrôles nominatifs « officiers » et « troupe » que le 14e de ligne est le régiment de la Grande Armée qui a subi les pertes les plus sérieuses en vies humaines à la bataille d’Eylau.




Bilan :

Officiers
Le 14e de ligne a déploré la mort de 26 officiers, 24 tués et deux blessés mortellement. Ils sont tous roturiers et pour la plupart d’entre eux sortis du rang et engagés volontaires dans les premières années de la Révolution.

Sous-officiers et hommes de troupe.
Le bilan des pertes est :
. de 59 sous-officiers (dont 48 tués et blessés mortellement, cinq radiés présumés morts, six radiés « disparus ») ;
. de 333 hommes de troupe (dont 139 tués et blessés mortellement, 19 radiés présumés morts, 175 radiés « disparus »).
Soit, en y ajoutant les 26 officiers tués et mortellement blessés, au total 418 victimes.
Il y a lieu de remarquer que le colonel Henriod fait état de pertes plus importantes, précisant dans son dernier rapport « dans cette bataille, le 14e a eu environ 500 tués ». Peut-on expliquer cette discordance ?
Henriod n’a-t-il pas surestimé le nombre des morts ? A-t-il tenu compte des prisonniers tombés aux mains des Russes et des détachements « égarés » ayant échappé au massacre et ayant rejoint ultérieurement le régiment ? Les contrôles troupe sont-ils à 100 % fiables ? Sûrement pas. Une recherche n’est d’ailleurs jamais terminée. Les archives nous apprennent que le 44e de ligne, autre régiment de la division Desjardin, avait prétendu que l’aigle restituée au capitaine Grémillon était en fait l’aigle du 1er bataillon du 44e de ligne perdue au cours de la bataille d’Eylau et que le maréchal Berthier, major général de la Grande Armée, avait transmis cette réclamation au colonel Henriod pour enquête et compte-rendu. Dans les rapports sur le sujet adressés à l’empereur et à Berthier, Henriod ne manque pas de mettre l’accent sur les pertes considérables subies par le 14e de ligne – 590 tués dans un premier temps, environ 500 tués dans un second rapport – auxquels il faut ajouter 700 blessés. « Dans cette mémorable journée, le régiment a fait les plus grands efforts de courage et a conservé sa réputation. Les officiers, sous-officiers et soldats se sont tous distingués et tous auraient préféré la mort au malheur de perdre les aigles que leur avait confiées Sa Majesté et qui ont été sauvées dans cette circonstance sévère ». En fin de compte, Henriod sut convaincre et le 1er bataillon du 14e de ligne conserve l’aigle récupérée par le capitaine Grémillon.
Quel que soit le nombre exact de ses morts à Eylau, il n’en reste pas moins que le 14e de ligne est le régiment de la Grande Armée ayant eu les plus lourdes pertes à Eylau mais il faut aussi signaler qu’il n’a pas été anéanti. A l’appel du 10 février 1807, surlendemain de la bataille, il compte 14 officiers et 497 sous-officiers et soldats présents sous les armes et à celui du 13 février, 18 officiers et 523 sous-officiers et soldats. Après la dissolution du 7e corps de la Grande Armée le 20 février 1807, le 14e de ligne est affecté à la division Leblond de Saint-Hilaire du 4e corps de la Grande Armée commandé par le maréchal Soult. Il compte au 1er juin 1807 60 officiers et 1 011 sous-officiers et soldats présents sous les armes. Il prend part le 10 juin 1807 à la bataille d’Heilsberg et compte un officier tué, dix sous-officiers et 43 hommes de troupe tués ou mortellement blessés. Le colonel Henriod est blessé à la cuisse par un boulet de canon à Heilsberg. Le chef de bataillon Dupuy de Saint-Florent, blessé à la bataille d’Eylau, est nommé colonel pour remplir les fonctions de commandant d’armes le 20 février 1807, général de brigade à l’armée de Lyon le 21 janvier 1814, mis en non activité en septembre 1815 et retraité en 1825, mort à Limoges le 7 septembre 1838. »


Source : [url=http://aiglehaut-marnais.blogspot.fr/2011/02/le-14e-regiment-dinfanterie-de-ligne-la.html]http://aiglehaut-marnais.blogspot.fr/2011/02/le-14e-regiment-dinfanterie-de-ligne-la.html​

Je n'ai gardé que les passages qui nous intéressent.[/c][/c]​

1807 : Heilsberg
1808 : Tudela
1809 : Monzon, Alcanz et Maria-de-Huerve
1810 : Astorga
1811 : Tortosa et Tarragone
1812 : prise d'Urgal.
1813 : Biar, Castalla et Ordal.
1813 : Lützen, Bautzen, Dresde et Wachau.

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  " Trainings "  
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Sunday 17:00 CET
Wednesday 20:30 CET
Every day unofficial melee training 18:00 CET

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  " Ranking Structure " 
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- Leading Officers -

R-Col.png
Colonel ( Col )
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Commandant ( de Battalion ) ( Cmd / Cdb )

- Commanding Officers -

R-Cpt.png
Capitaine ( Cpt )
R-Lt.png
Lieutenant ( Lt )
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Sous-Lieutenant ( SLt )

- Sub-Officers -

R-Adj.png
Adjudant-Chef ( AdjC )
R-AdjCf.png
Adjudant ( Adj )
R-SgtMj.png
Sergent-Major ( SgtM )
R-Sgt.png
Sergent ( Sgt )

R-ESO.png
( ESO )

- Soldier Ranks -

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Caporal Fourrier Vétéran ( CplFV )
R-CplFo.png
Caporal Fourrier ( CplFo )
R-Cpl.png
Caporal ( Cpl )
R-SoP.png
Soldat de Première Classe ( SoP )
R-SoD.png
Soldat de Seconde Classe ( SoD )
R-Cad.png
Cadet ( Cdt )

- Special Ranks -

R-Aideducampblank.png
Aide De Camp ( AdC )
R-pA2.png
Porte Drapeau ( PdR )
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Flutiste/Tambour ( Tam / Flu )

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  " Roster " 
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Officiers : [3]

14e_Col_Verdieb
14e_Cpt_Knight
14e_Lt_Flopz

Sous-Officiers [3]:

14e_Adj_Gonthran
14e_SgtMj_Vaetris
14e_Sgt_Enriik

Élèves Sous-Officiers [2]:

14e_ESO_Darkmirror
14e_ESO_Hamlenain

Soldats du Rang [61]:

14e_PdR_Djord

14e_CplFo_Zelda
14e_CplFo_Badsheep
14e_CplFo_Dalakh
14e_Cpl_Gryfon
14e_Cpl_Cocodu45

14e_Tam_Tranzer

14e_SoPV_Babouine
14e_SoP_Beaumarchand
14e_SoP_Sirerot
14e_SoP_Bonn
14e_SoP_Mael
14e_SoP_Votiak
14e_SoP_Conqueror
14e_SoP_Rick
14e_SoP_Skarime
14e_SoP_Mix
14e_SoP_Lefaisandeur
14e_SoP_Lusitano
14e_SoP_Armand
14e_SoP_Augerau
14e_SoP_AlexSniper
14e_SoP_Dumnacus
14e_SoP_Majestic
14e_SoP_Apprenti-Sage
14e_SoP_Voxors
14e_SoP_Havohej
14e_SoP_Forever_Alone
14e_SoP_Djiseus
14e_SoP_Snow
14e_SoP_Ghostryder
14e_SoP_Hassoul
14e_SoP_Aboubakartah
14e_SoP_Gourgaud
14e_SoP_A$_De_Pic
14e_SoP_Hansi
14e_SoP_Jobaparte
14e_SoP_Rigolax
14e_SoP_Loximar
14e_SoP_Devils-Kills
14e_SoP_Nash
14e_SoP_Altair
14e_SoP_Yasuo
14e_SoP_Elba
14e_SoP_TheMarmottin
14e_SoP_Ramirez
14e_SoP_Ederon
14e_SoP_Wargy
14e_SoP_Samurakida
14e_SoP_Spacekiller
14e_SoP_Rookiz


14e_SoD_Liandrix
14e_SoD_Marmotte
14e_SoD_Jumpray
14e_SoD_Deathsite
14e_SoD_Garryneger
14e_SoD_Asdru
14e_SoD_Mephisto
14e_SoD_Choc_a_pic
14e_SoD_MaxenceIV
14e_SoD_MrBadkill

Cadets [31]:

14e_Cdt_Isimaru
14e_Cdt_Sulhyvan
14e_Cdt_Valh
14e_Cdt_Lafayette
14e_Cdt_Macgoss
14e_Cdt_Teenshirock
14e_Cdt_GSR
14e_Cdt_Duc_Waaka
14e_Cdt_Lux
14e_Cdt_Diablo
14e_Cdt_Ganlon
14e_Cdt_Satanik
14e_Cdt_TheFlaviafelix
14e_Cdt_Bouguail
14e_Cdt_Dorian
14e_Cdt_Murat
14e_Cdt_Yacouba
14e_Cdt_Luluesmail
14e_Cdt_Doodie
14e_Cdt_Dimdoum
14e_Cdt_Napoleonswar
14e_Cdt_Romulus
14e_Cdt_Biobird
14e_Cdt_Lexar
14e_Cdt_Worlan
14e_Cdt_Harcado
14e_Cdt_DarkGhost99
14e_Cdt_Spaulding
14e_Cdt_Dookie
14e_Cdt_Irreel
14e_Cdt_Dragozy

Soit un total de 100 hommes.



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  " Regiment Rules " 
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Regiment rules will be in French :
- Parler Français
- Respecter vos supérieurs.
- Etre un minimum actif ( participer aux lb et training selon vos disponibilités.)
- Savoir adopter une attitude sérieuse en lb.
- Aucune insulte, de n'importe quelle sorte, n'est toléré dans le 14e. Toute entrave à cette règle vaudra un ban définitif.

Les règles seront ajoutées au fur et à mesure.

** Watch us on youtube ** : http://www.youtube.com/user/flopz7814e is recruiting, if you want to apply:
www.14e-regiment.com
** Partner with **
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